NePleure pas si tu maimes La mort. Slides: 30; Download presentation
Getnotified when «Ne pleure pas si tu m'aimes «C'est pas un boxeur qui me fera peur» 66 parts Complete . 66 parts. Complete. Ăa a commencĂ© par une aide pour le port des gants , ça terminera par quoi ? [] Bienvenue dans m «On commence par la fin ?» 27 parts Complete Mature. 27 parts. Complete. Mature. TerminĂ©. De toute façon, on est nĂ© pour mourir.
Tume reverras donc, transfigurĂ© dans lâextase et le bonheur, non plus attendant la mort, mais avançant dâinstant en instant avec toi dans les sentiers nouveaux de la LumiĂšre et de la Vie. Essuie tes larmes et ne pleure plus si tu mâaimes. » (Citation tirĂ©e du livre La Force du Silence, du cardinal Robert Sarah, no 180) chargement
Nepleure pas si tu mâaimes Si tu savais le don de Dieu et ce que câest que le Ciel ! Si tu pouvais, dâici, entendre le chant des Anges et me voir au milieu dâeux ! Si tu pouvais voir se dĂ©rouler sous tes yeux les horizons et les champs Ă©ternels, les nouveaux sentiers oĂč je marche ! Si un instant tu pouvais contempler, comme moi, la
Nepleure pas, si tu m'aimes ! Si tu savais le don de Dieu et ce que c'est que le ciel ! Si tu pouvais d'ici entendre le chant des Bienheureux et me voir au milieu d'eux ! Si tu pouvais voir se dĂ©rouler sous tes yeux les immenses horizons et les nouveaux sentiers oĂč je marche !
Vay Tiá»n Nhanh Ggads. Quand je ne serai plus lĂ , lĂąchez-moi ! Laissez-moi partir Car jâai tellement de choses Ă faire et Ă voir ! Ne pleurez pas en pensant Ă moi ! Soyez reconnaissants pour les belles annĂ©es Pendant lesquelles je vous ai donnĂ© mon amour ! Vous ne pouvez que deviner Le bonheur que vous mâavez apportĂ© ! Je vous remercie pour lâamour que chacun mâa dĂ©montrĂ© ! Maintenant, il est temps pour moi de voyager seul. Pendant un court moment vous pouvez avoir de la peine. La confiance vous apportera rĂ©confort et consolation. Nous ne serons sĂ©parĂ©s que pour quelques temps ! Laissez les souvenirs apaiser votre douleur ! Je ne suis pas loin et la vie continue ! Si vous en avez besoin, appelez-moi et je viendrai ! MĂȘme si vous ne pouvez me voir ou me toucher, je serai lĂ , Et si vous Ă©coutez votre cĆur, vous sentirez clairement La douceur de lâamour que jâapporterai ! Quand il sera temps pour vous de partir, Je serai lĂ pour vous accueillir, Absent de mon corps, prĂ©sent avec Dieu ! Nâallez pas sur ma tombe pour pleurer ! Je ne suis pas lĂ , je ne dors pas ! Je suis les mille vents qui soufflent, Je suis le scintillement des cristaux de neige, Je suis la lumiĂšre qui traverse les champs de blĂ©, Je suis la douce pluie dâautomne, Je suis lâĂ©veil des oiseaux dans le calme du matin, Je suis lâĂ©toile qui brille dans la nuit ! Nâallez pas sur ma tombe pour pleurer Je ne suis pas lĂ , je ne suis pas mort
Ne pleure pas si tu m'aimes. Si tu savais le don de Dieu et ce qu'est le ciel, Si tu pouvais, d'ici, entendre le chant des anges Et me voir au milieu d'eux, Si tu pouvais voir se dĂ©rouler sous tes yeux Les horizons et les champs Ă©ternels, Les nouveaux sentiers oĂč je marche, Si un instant tu pouvais contempler, comme moi, La beautĂ© devant laquelle toutes les beautĂ©s palissent.. Quoi ! Tu m'as- vue, tu m'as aimĂ© e dans le pays des ombres, Et tu pourrais ni me revoir, Ni m'aimer encore dans le pays des immuables rĂ©alitĂ©s! Crois-moi, quand la mort viendra briser tes liens Comme elle a brisĂ© ceux qui m'enchaĂźnaient, Et quand un jour que Dieu connaĂźt et qu'Il a fixĂ©, Ton Ăąme viendra clans le ciel oĂč l'a prĂ©cĂ©dĂ© la mienne, Ce jour-lĂ tu reverras celui celle qui t'aimait et qui t'aime encore, Tu retrouveras son coeur et toute sa tendresse. Saint Augustin
14 juin 2006 3 14 /06 /juin /2006 2200 Ne pleure pas si tu m'aimes. Si tu savais le don de Dieu et ce qu'est le ciel,Si tu pouvais, d'ici, entendre le chant des angesEt me voir au milieu d'eux,Si tu pouvais voir se dĂ©rouler sous tes yeuxLes horizons et les champs Ă©ternels,Les nouveaux sentiers oĂč je marche,Si un instant tu pouvais contempler, comme moi,La beautĂ© devant laquelle toutes les beautĂ©s palissent.. Quoi ! Tu m'as- vue, tu m'as aimĂ© e dans le pays des ombres, Et tu pourrais ni me revoir, Ni m'aimer encore dans le pays des immuables rĂ©alitĂ©s !Crois-moi, quand la mort viendra briser tes liensComme elle a brisĂ© ceux qui m'enchaĂźnaient, Et quand un jour que Dieu connaĂźt et qu'Il a fixĂ©,Ton Ăąme viendra clans le ciel oĂč l'a prĂ©cĂ©dĂ© la mienne,Ce jour-lĂ tu reverras celui celle qui t'aimait et qui t'aime encore,Tu retrouveras son coeur et toute sa tendresse. Saint Augustin Published by Marc-Elie - dans PriĂšres
Si tu savais le don de Dieu et ce que câest que le Ciel ! Si tu pouvais dâici, entendre le chant des Anges et me voir au milieu dâeux ! Si tu pouvais voir se dĂ©rouler sous tes yeux les horizons et les sentiers oĂč je marche ! Si, un instant, tu pouvais contempler, comme moi, la BeautĂ© devant laquelle toutes les beautĂ©s pĂąlissent ! Quoi ! tu mâas vue, tu mâas aimĂ© dans le pays des ombres, et tu ne pourrais ni me revoir, ni mâaimer encore dans le pays des immuables rĂ©alitĂ©s ? Crois-moi, quand la mort viendra briser tes liens comme elle a brisĂ© ceux qui mâenchaĂźnaient, et quand un jour que Dieu connait et quâil a fixĂ©, ton Ăąme viendra dans le Ciel oĂč lâa prĂ©cĂ©dĂ©e la mienne, ce jour-lĂ , tu reverras celle ou celui qui tâaimait et qui tâaime encore, tu en retrouveras les tendresses Ă©purĂ©es. Tu me reverras donc, transfigurĂ©e dans lâextase et le bonheur, non plus attendant la mort, mais avançant dâinstant en instant, avec toi qui me tiendra la main, dans les sentiers nouveaux de la LumiĂšre et de la Vie, buvant avec ivresse aux pieds de Dieu un breuvage dont on ne se lasse jamais et que tu viendras boire avec moi. Essuie tes larmes et ne pleure plus, si tu mâaimes. Saint Augustin
ï»żNe pleure pas si tu m'aimes. Si tu savais le don de Dieu et ce que c'est que le Ciel. Si tu pouvais d'ici entendre le chant des Anges et me voir au milieu d'eux. Si tu pouvais voir se dĂ©rouler sous tes yeux les horizons et les champs Ă©ternels, les nouveaux sentiers oĂč je marche ! Si, un instant, tu pouvais contempler comme moi la BeautĂ© devant laquelle toutes les beautĂ©s pĂąlissent. Quoi, tu m'as vu, tu m'as aimĂ© dans le pays des ombres et tu ne pourrais ni me revoir, ni m'aimer dans le pays des immuables rĂ©alitĂ©s ! Crois-moi, quand la mort viendra briser tes liens comme elle a brisĂ© ceux qui mâenchaĂźnaient et, quand un jour que Dieu connaĂźt et qu'il a fixĂ©, ton Ăąme viendra dans ce ciel oĂč l'a prĂ©cĂ©dĂ©e la mienne, ce jour-lĂ tu me reverras, tu retrouveras mon affection Ă©purĂ©e. A Dieu ne plaise qu'entrant dans une vie plus heureuse, infidĂšles aux souvenirs et aux vraies joies de mon autre vie, je sois devenu moins aimant. Tu me reverras donc, transfigurĂ© dans l'extase et le bonheur, non plus attendant la mort, mais avançant d'instant en instant avec toi dans les sentiers nouveaux de la LumiĂšre et de la Vie. Essuie tes larmes et ne pleure plus si tu m'aimes. » Saint Augustin 354-430, Ă©vĂȘque dâHippone et Docteur de lâEglise
ne pleure pas si tu m aimes